jeudi 24 décembre 2009

Joyeux Noël a Tous!


vendredi 18 décembre 2009

Nohic sous la neige.

jeudi 17 décembre 2009

Actu du Jour! Golfech.



Les centrales nucléaires n'arrivent pas a fournir! Il y'a déjà 12000 spots ultra puissant rien que pour éclairer le site, ça doit bien bouffer une demi centrale non? J'ai pris ces photos de nuit, on y voyait comme en plein jour.
Et on veut nous faire éteindre les petites veilleuses des lecteurs dvd?
Faut arrêter de prendre les gens pour des cons!!!!!

samedi 28 novembre 2009

The parlor mob




Du bon rock pour les oreilles. Poussez les meubles et mettez le volume au max!! Un voyage dans le Rock un peu dépassé. C'est de la nourriture pour l'esprit. Le groupe suit le batteur a la perfection c'est lui le meneur et ça s'entend.

Fondé en 2004 ce groupe Américain ne manque pas de pêche. Je vous laisse visiter leurs site The parlor mob

vendredi 27 novembre 2009

Ça m'énerve!

Ce matin, comme tous les matins depuis quelques semaines, la radio et la télé diffuse le nombre de mort de la grippe A. Au réveil c’est que du bonheur ! Sur la route encore la radio n’oublies pas de répéter ce chiffre. Et puis on arrive sur notre lieu de travail et la encore qu’elles sont les discutions ? La grippe A ! Le soir aux infos devant notre plateau repas pour les célibataires, le repas en commun pour les familles, ce même chiffre est remis sur la table pendant les entrées ! Salade de riz, pâté en croûte, saucisson, quiche lorraine, et toujours la grippe ! On la mange au quotidien, on la respire et on la boit ! La digestion opère et quelques heures plus tard nous évacuons les résidus de cette nourriture que l’on nous impose !

Pour mieux la vaincre on la consomme, on s’en nourrit pour en connaître parfaitement le goût. Car petit a petit, elle a une odeur, une saveur familière qui vient à nous manquer. Tout comme la bonne odeur du gâteau au chocolat de ma maman quand j’étais gamin. La grippe A s’encrera dans nos chairs et nos souvenirs. Nous connaîtrons sa substance ainsi que sa recette, et quand nous serons grand nous pourrons la transmettre à nos enfants !! Mais entre temps nous l’aurons oublié, car d’autres malheurs et cataclysmes auront pris le relais.

C’est ce matraquage de cerveau que nous servent les médias tous les jours à la télé, à la radio et sur Internet qui a son petit plus. La désinformation de masse ! La toxine de la peur elle-même !

Comment voulez vous passer a coté ? Comment peut on échapper à cette soupe indigeste ? Qui nous inquiète et nous fascine ! Au point de se poser des questions burlesque ! Au point de croire aux vidéos de fin du monde diffuser sur Internet et même à la télé ! Génocide mondial par le vaccin, complot du 11 septembre, fin du monde en 2012, etc… Autan d’exemples dont les sources sont invérifiables. Le plus mauvais agents pathogènes qui soit, c’est nous tous ! Car nous transmettons nos propres peurs aux autres pour se sentir moins seul dans sa souffrance. Quand un enfant est effrayé par des monstres la nuits, il appelle ses parents, il a besoin de partager sa peur, d’être compris et consolé. Nous faisons de même a l’age adulte, certain peuvent inventer des histoires digne des plus grand film de fin du monde, ou une météorites va s’écraser sur terre, un virus décime 90% de la population mondiale, les centrale nucléaire s’arrête, il n’y a plus d’eau ni d’électricité, et les seuls survivants s’organise pour rester en vie.

Ces films la sont aujourd’hui dans nos plats de nouilles tous les jours aux infos. Quand la fiction se confond avec la réalité, comment reconnaître le faux du vrai, comment distingué la limite de l’invraisemblable ?! Depuis toutes ces années où Bruce Willis a sauver des dizaines de fois notre terre, pourquoi n’est il pas la aujourd’hui ? Parce que en fait il est bien la, jouer par les chefs des gouvernements. Nos héros ! Le réalisateur s’appelle « Média » Les producteurs c’est nous ! Car nous donnons de l’argent pour nous fabriquer nos peurs et nos angoisses qui manquent tant dans nos vies ! Nous achetons nos propres malheurs, on nous la taxe même par la redevance ! Et bientôt sûrement sur nos forfait Internet !

Ce n’est qu’un exemple du feuilleton journalier, il s’indexe sur des sondages, renifle l’air du temps et frappe au bon moment ! C’est ainsi qu’on oublis pourquoi les avions s’écrasent, pourquoi l’océan parfois prend des milliers de vie en quelques minutes. C’est ainsi qu’on oublis les guerres et l’économie vacillante. Qui reprend miraculeusement son souffle au moment ou la grippe nous vole le notre. Ne voyez vous pas qu’on nous manipule pour mieux consommer, pour oublier dans ce besoin de pouvoir d’achat que nous sommes des humains. Que nous valons mieux que ça ! Avons-nous perdu toute conscience personnelle au profit d’une conscience unique ? Celle de la peur ?! Celle du besoin ? Conduit par une poignée de gens qui croient savoir ce qui est bien pour nous. Et qui véhiculent leur idéologie à travers nos écrans plasma HDMI haute vitesse de réponse, sans aucune vergogne. La télé est devenu une idole, on lui laisse la meilleure place au centre du salon afin que nos invités puissent admirer la toute puissance en entrant ! Je pense au lieu de prière que nos aînés plaçaient aux meilleurs regards. Une vierge Marie, un bouda ou une bougie. Un lieu de culte et d’adoration !!

Je ne sais pas si tout ce qu’on nous dit est vrai. Je vois juste ce poison qui nous empêche de penser par nous même.

« Si c’est écrit dans le journal c’est que ça doit être vrai ». Le roi a dit : « le roi a raison »


Rémy

jeudi 19 novembre 2009

Qui se souvient de " Cocoshaker" ?

vendredi 6 novembre 2009

La pêche en mer.

mardi 3 novembre 2009

Autre-monde: Malronce


La suite de l'alliance des trois sort demain. Avis a tout les Fans de Chattam.

La chauve souris d'Halloween.

dimanche 1 novembre 2009

18 heures de trop chapitre 2 , l'hôte de la marquise




Je me réveillais les yeux lourd de fatigue. Comme si je n’avais dormis qu’une ou deux heures. L’odeur de fumé du feu de bois mourant inondait mes narines. Et les quelques cendres encore rougeoyantes, crépissaient le mur d’une timide lumière. J’avais choisi cette maison pour cette unique raison, il y avait une belle cheminée. C’est ainsi quand on a été élevé près d’un âtre, ou les soirs d’hiver sentent les châtaignes grillées. La ou les soirées télé revêtent une couverture exagérément chaleureuse.

Ainsi cette senteur d’enfance me rassura et je pris mon café sereinement. La journée passa.


Plus tard dans la soirée une vision me troubla.


J’avais fais la route jusqu'à Pompadour en Corrèze pour effectuer un contrat. C’est un lieu étrange. Ancien site gallo-Romain, il a gardé tout le charme d’une cité médiévale. Ainsi que toute ses rumeurs. La meilleure période pour visiter et comprendre la magie de cet endroit est le début de l’hiver. Des grands pins bordent les routes sinueuses, goudronnés avec trop de hâte entre les ruines et les murettes de pierres. Une légère chute de neige a recouvert les toitures d’ardoise, et le froid saisissant décourage les plus téméraires d’entre eux à sortir après 18h. C’était justement la bonne période pour le jour de ma première visite las bas.


J’avais réservé une chambre l’auberge de la Marquise. Un lieu extraordinaire ! Tous les éléments étaient réunis pour passer une soirée dans une véritable maison hantée. Il avait la maîtresse de maison emmitouflée dans une couverture de fortune, petite et très souriante, l’air heureuse d’accueillir enfin un client.En effet, il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que j’étais seul dans tout le château. Il y avait aussi le froid, glacial ! La vieille chaudière fuel avait du mourir bien avant les premières gelées. Et la température extérieure n’avait rien à envier à la douceur intérieure. 5° de différence tout au plus. Et il avait bien sur la chambre. Immense, le sol en pierre, une cheminée, un lit louis II et une fenêtre désespérément fuyarde se cachait derrière des rideaux sombres. Une télévision apposée sur un secrétaire rongé par le temps, n’allait pas du tout avec le décor. Hormis ce détail, je me surpris à aimer cet endroit. Ce mélange d’étrange, de froid et d’ancien me plongea immédiatement des années en arrière. Au temps des cavaliers mystérieux qui voyageaient à travers le pays, afin de distribuer les nouvelles de la capitale. Le grincement des volets, le sifflement du vent enveloppant les feuilles mortes ajoutais a cette battisse une certaine magie. J’étais émerveillé et je me jurais de conseiller cet endroit aux voyageurs en mal de nouvelles sensations.


Le repas se passa dans la grande salle, ou je me trouvais seul attablé au milieu de centaines de chaises vides. Au dessous d’un lustre qui faisait bien 3 mètres d’envergure, mais qui n’éclairais que le plafond. Je mangeais ainsi dans la pénombre et au centre des invités fantômes.

Alors que j’attaquais le dessert, mon regard se posa à l’extérieur. La neige fine du début d’après midi s’était transformée en gros flocon tombant lourdement sur les pavés. Une silhouette se profila, boitant sur sa patte avant, un chien de belle taille avançait lentement vers la baie vitrée. La lumière artificielle d’un vieux lampadaire ne suffisait pas a distingué la race de l’animal. Mais une chose était sure, cette bête n’avait que trois pattes ! Trois monstrueux appendices qui ne semblaient pas craindre le sol gelé. Il ralentis au niveau du trottoir et s’assis tranquillement. La bête huma vers l’hôtel de sa truffe noire. Un soir normal j’aurais penser qu’il avait faim et que l’odeur des cuisines l’aurait attiré jusqu’ici. Mais j’avais l’impression que c’est moi qu’il sentait. Qu’il m’avait chercher toute la journée et qu’il se trouvait enfin face a sa proie. Il baissât la tête et me fixa de ses yeux pourpres. Je le fixais aussi d’un regard sûr, espérant le faire fuir. Plusieurs minutes passèrent sans que ni lui ni moi n’osions déposer les armes. Je voyais bien dans son regard qu’il resterait la toute la nuit.

La maîtresse de maison me héla du fond de sa cuisine pour me demandais si je voulais un café. Je tournais mon regard pour lui répondre que non. Puis de retour sur la rue, l’animal avait disparu ! Il a gagné cette manche ! Me dis-je. Je te connais, je sais qui tu es, et je ne te laisserais pas faire cette fois. Je ne te laisserais pas entrer dans mon âme ce soir ! J’ai besoin de repos, laisse moi !

Je me dis que la fatigue enfin allait m’anéantir dès lors que mes membres seraient allongés. Et je n’inspirais qu’à une chose. Dormir oui dormir !

Je souhaitais bonne nuit à l’hôtelière et regagnais ma chambre. Après avoir jeté une dizaine de couvertures sur le grand lit, je m’engouffrais rapidement tout habillé et m’endormis aussitôt.

Le chien hurla toute la nuit, et il m’était impossible de dire si je l’avais rêver ou pas. Mais au réveil, mes oreilles résonnaient encore de ces aboiements sans vie.

Je pestais intérieurement de l’avoir laisser entrer. Je me réveillais fatigué une fois de plus. Il avait a nouveau volé ma nuit.

Je rangeais mes affaires dans ma valise et me préparais à quitter les lieux, car une nouvelle journée allait commencer.


Rémy






(L’auberge de la marquise existe réellement, bien plus accueillant que je le décris dans mon histoire. Si vous laissez parfois votre imagination prendre le dessus sur votre raison, alors vous passerez un séjour inoubliable)


La première photo est bien une chambre de l'auberge, la deuxième est la salle des repas du fairyland II non loin de la.


samedi 31 octobre 2009

dix huit heures de trop.



Ça faisait déjà plus de quatre heures que je roulais, j’avais faim et j’étais fatigué. Fatigué par mes pensées, le tête dans la pénombre depuis des heures.

Moi qui avais toujours su garder l’esprit serein, je tenais ma vie comme un commandant de bord garde son cap. Prendre les bonnes décisions au bon moment, utiliser des mots justes. Mais aujourd’hui c’était différent, j’étais épuisé de songer à tout cela, je voulais échanger ces maudites bienveillances contre un peu de repos.

La route se faisait trouble et le temps était à l’orage, je n’étais jamais passé par ici et d’ailleurs je me demandais si je ne m’étais pas perdu. Je regardais les panneaux routiers en espérant reconnaître un nom de village que je connaissais. Mais rien d’amical ne s’offrait à mes yeux, et ma vue rendue fébrile par la fatigue m’empêchait de lire correctement. Il faisait sombre, très sombre, les phares de ma voiture n’arrivaient pas a percer cette obscurité inhabituelle.

Je jugeais en regardant ma montre que c’était l’hiver, il faisait presque nuit et il était 18h, il n’y a qu’en hiver que le soleil se couche si tôt !! Ou est-ce ma montre qui délire ? La trotteuse trotte, « non ma montre fonctionne bien ». Je regarde les arbres sur le bord de la route, ils sont marron, beaucoup de feuilles manquent aux branches et le vent semble vouloir arracher celles qui s’accrochent encore. C’est l’automne me dis-je !

La route sinueuse me forçait à garder les yeux ouverts, je décidais de m’arrêter au prochain village pour manger quelque chose et acheter des cigarettes.

Après une demi-heure de route j’arrivais à un village, « c’est étrange je n’ai pas vu le panneau qui l’indiquait ». Il était comme le temps, sombre et hostile, j’hésitais à y faire une halte. Mais la fatigue était trop forte.

J’avançais sur ce chemin qui devait être mon passé, mon avenir ? Je crus reconnaître un coin de ruelle, une lueur de déjà-vu. Tout semblait brusquement refléter mon esprit, j’étais transporté dans un autre univers, mais un univers que je connaissais bien. Moi qui suis daltonien je pouvais reconnaître toutes les couleurs, le rouge des briques, le bleu marine de la parka d’un homme sinistre au chapeau écorché et le marron d’un vieux chien errant sur le trottoir. Celui-ci avait une patte en moins mais se déplaçait avec une aisance à peine croyable. Sa bave dégoulinait, je frissonnais en croisant sont regard presque humain. Je roulais de plus en plus lentement en observant les alentours, il y avait une place sous un lampadaire qui clignotait. Je pouvais entendre le cliquetis de l’électricité qui circulait mal dans sa prison de verre.

Quelques instants plus tard, je marchais le long du trottoir en quête d’un tabac, l’air était lourd et mes pas résonnaient sur les pavés usés. Il n’y avait personne, était-il tard ? Je regardais à nouveau ma montre, 18h ?! La trotteuse trottant, mon inquiétude se portait à présent sur le bon fonctionnement de la grande aiguille. Mais le temps avançait car la nuit était tombée, je n’étais plus sûr de rien…

J’étais piégé, retenu ici par mes actes, prêt à faire demi-tour et repartir au plus vite vers ma voiture, les pensées revinrent, j’étais immobile ! A cet instant je ne pouvais plus rien faire, mes membres figés, les mains sur le visage mes larmes prêtes à couler. « Chasser ces pensés ! Oublier les erreurs ! » Que pouvais-je faire ? Le passé me rattrape malgré moi.

Si le chemin du repenti ressemble à ça, alors le hasard est décidément son meilleur allié. Je connaissais ce village, j’en étais sûr à présent. Une petite route escarpée grimpait sur les hauteurs de la colline sur laquelle il avait été érigé. Je me souviens, les maisons semblaient protéger un trésor caché. Les habitants accrochaient les fleurs uniquement du coté intérieur du village, comme pour garder intact la beauté de ce site qu’ils protégeaient des touristes. Pour le voir, les passants devaient rentrer à l’intérieur des murailles, oublier leurs véhicules, et faire silence. Seules les abeilles avaient droit de parole. Je me remémorais cet endroit avant qu’il ne soit assombri par mes pêchés. Il y avait ces marches qui donnaient en montant sur des multitudes de ruelles fleuries, s’écoulant doucement sur des rocs taillés avec soins. Plus haut s’étendait le château dominant la vallée. Majestueux, les cicatrices des batailles passées l’avaient rendu sage. Les miennes étaient encore ouvertes, apparemment impossibles à guérir J’avançais prudemment le long des murailles de ce village fortifié. Je ne pouvais pas savoir ce qui allait m’arriver. Poussé par une incontrôlable curiosité et un désir de liberté toujours aussi fort, j’avançais vers ce qui allait être ma délivrance.

Des lumières s’agglutinaient au fond de la ruelle, sûrement un magasin j’espère qu’il est ouvert. Je m’approchais et remarquais l’enseigne accrochée à une porte d’entrée, un tabac ! Formidable, j’ai de la chance il y a quelqu’un au comptoir, ils sont même deux on dirait. Je n’arrivais pas à les distinguer, ils étaient flous. Je me frottais les yeux et fis le point !

Un homme et une femme tous deux mal rasés, l’un avait la moustache l’autre la barbe, beurk ! Ils allaient bien ensemble, monstrueusement poilus sales et difformes, j’en conclut qu’ils étaient en couple. La femme se grattait la barbe, l’homme s’honorait copieusement les trous de nez. Ils étaient répugnants ! Je ne mis pas longtemps à distinguer une énorme verrue sur la partie supérieure de l’oreille droite du commerçant, sa femme manifestement avait la même en parfaite symétrie sur sa parabole gauche. Le comptoir était à leur image, souillé et terne. Un réchaud à gaz posé près du distributeur de chewing-gum, murmurait une mixture verdâtre dans sa poêle oxydée. Il crachait du riz sur le bar et dégageait une odeur de soufre. Les émanations de cette mauvaise cuisine me donnaient envie de vomir. Ils avaient pourtant l’air d’être heureux, dans leur sale cahute. Comment pouvaient ils vivre ici ? Aurais je seulement le courage de m’approcher d’eux sans risquer l’infection ? Je fis semblant de consulter ma montre mais je savais qu’il était toujours 18h, l’horloge pendue au dessus du stand de cigarettes me le confirma. Le temps s’était il donc arrêté ici ? Pourquoi les heures ne passaient-elles pas ?

Alors que la lune affichait minuit, je m’approchai du vendeur et lui demandai un paquet de Fortuna rouge. Il me dévisagea, se racla la gorge tel un chien malade et me dit :

_Un Fortuna rouge hein c’est ça ? »

Je lui répondis que oui.

_T’es sûr tu veux pas de la paella ?

Je regardais à nouveau dans la poêle qui bouillonnait, je crus reconnaître du riz, ce qui semblait être un morceau de poulet et des moules. Tout ceci vivait encore là-dedans, le poulet gigotait, les moules s’ouvraient et se refermaient au rythme des bulles de sauce qui éclataient bruyamment.

_Non, non pas de paella ! Juste les cigarettes.

_T’as tort jeune ! Elle est extra, c’est ma femme qui l’a faite.

Justement, je n’avais pas envie de goûter à la potion d’une sorcière. Notre conversation s’arrêta, interrompue par la sonnerie de son portable. Il le tira des sa poche et décrocha.

_Allo ? Ah c’est toi chérie. Sa femme le regarda d’un œil étonné.

_Chérie ? Qui est ce que tu appelles chérie ? Lui demanda-t-elle, un brin énervé

_ Tu vois pas que je téléphone ? Lâche moi un peu tu veux ?

L’homme ne cachait pas le moins du monde sa conversation, il restait à sa place et parlait très fort. Sa femme commençait à gesticuler et à lui tirer le téléphone des mains. Il se leva et haussa la voix, « tu as fini de me les briser connasse ? Je vais te péter la mâchoire si tu continues !! » Liant les gestes à la parole, il brandit son bras en l’air et lui administra un coup de poing en pleine tête. J’entendis éclater plusieurs dents sous le choc.

Cet homme est fou, et sa femme déjà amoindrie par la nature était désormais défigurée. Son menton avait pris la place de son oreille droite et un œil commençait à sortir de son orbite gauche. J’étais horrifié, je ne savais plus quoi faire.

_Un bébé ? Ah super et c’est le mien ? Il continuait de parler comme si de rien n’était. Apparemment content de pouvoir enfin téléphoner tranquillement. Je restai la, bouche bée, les mains dans les poches je retournais les pièces de monnaies entre mes doigts. Je l’écoutais discuter avec sa maîtresse qui ne devait sûrement pas se douter qu’il venait d’écraser la mâchoire de sa propre femme. Il y avait un sourire satisfait dessiné sur son visage, un mélange de soulagement et de fantasme enfin assouvi. Je le fixai intensément, je voulais qu’il voie le dégoût que j’avais pour lui, alors je m’appliquais à lui jeter mon regard le plus froid, il ne bougeait pas de sa chaise, les pieds reposant sur le corps de sa femme qui gémissait. Je voulus partir pour prévenir la police au plus vite, mais il se leva, cacha le micro

dans la paume de sa main. Il s’approcha au plus près de mon visage, je pouvais sentir son haleine fétide. Il ferma les yeux pour les ouvrir aussitôt, une vision d’horreur traversa mon cerveau, les yeux blancs, les paupières retournées sur son regard qui me glaça le sang. Ses globes vibraient et d’énormes vaisseaux sanguins traversaient ses yeux sans pupille. Je voulais hurler mais rien ne sortait de ma bouche, mes jambes ne répondaient plus, aucune adrénaline n’alimentait mon sang pour me permettre de m’échapper. Je subissais son regard, il se mit à parler :

_ « Vois-tu dans ton cœur l’âme sombre qui l’habite ? Je pourrais l’arracher d’une main si vite qu’il battrait encore quand tes yeux s’éteindront ! » Je sentais à cet instant une douleur terrible dans ma poitrine.L’homme empoigna son téléphone et me le présenta. Je n’arrivais plus à respirer à présent. Plus il serrait le poing plus mon souffle me quittait. Tandis que le téléphone craquait mes membres m’abandonnaient. Je tombai à genoux, les mains autour de ma gorge pour me libérer de cette étreinte mortelle. La lune était trouble et je commençais à délirer, des couleurs incohérentes empoisonnaient mon esprit, le rouge redevint vert et le bleu tirait au violet mais le noir restait noir ! Ma tête cogna contre le sol, je m’effondrais. Le regard en arrière je voyais l’autre coté de la rue, il n’y avait personne. Juste ce chien, ce maudit cabot ! Il était assis sur le trottoir et me fixait. Son regard était noir et si je n’étais plus sûr d’être encore conscient, j’aurais juré qu’il riait !

Le premier sens que l’on perd au moment de sa mort est l’ouie, néanmoins il en reste assez pour entendre les derniers battements de son cœur. Ceux-ci ralentissent doucement. Ensuite vient le toucher, le sol se fait mou et l’on croit s’enfoncer dans une mare de terre humide. Puis les lumières s’éteignent, seuls les souvenirs gardent une substance palpable, et ils sont très nombreux à cet instant. On dit que l’on revoit sa vie défiler devant ses yeux au moment de sa mort. Ce n’est pas seulement sa vie que l’on voit, mais toutes les sensations qui l’accompagnent. Les joies et les chagrins, les victoires et les regrets. Toutes les émotions que l’on a vécues traversent nos entrailles en quelques secondes. Aussi, je m’entendais rire et pleurer en même temps, je frissonnais et transpirais au grès des tics et des tacs de ma montre arrêtée.

J’entendais les battements de mon cœur qui suivaient le rythme de la trotteuse, toquant qu’il était toujours 18h. Je commençais à comprendre, tout était devenu clair ! C’était l’heure de ma mort ! La faucheuse m’avait laissé une chance que je n’avais pas su saisir ! Quelques heures de plus. Tous les signes s’y prêtaient, la couleur des choses que je reconnaissais, le tic tac de ma montre qui résonnait dans ma tête, ce temps qui ne pouvait avancer. Je ne voulais pas mourir, pas maintenant ! Pas comme ça !

Pourquoi m’avait on laissé du temps ? Peut-être suis-je déjà mort en fait. Je prenais conscience que mon esprit avait déjà quitté ce monde et je me surpris à faire une chose que je n’avais jamais faite. En dernier recours je priais ! J’étais prêt à croire en cet instant qu’il y avait autre chose. Non pas un dieu, mais une force qui nous liait tous. Cette force c’est notre entourage. Les gens qui nous aiment, la famille, les amis. Des choses simples certes, mais c’est ce qui fait que l’on existe en tant qu’individu. Je priais pour eux, ne leur souhaitant que du bonheur. Je remerciais certains, présentais mes excuses à d’autres…

Mon souffle se coupa et mon cœur s’arrêta sur ce dernier mot : pardon !

Quelques secondes plus tard je ne pensais plus, mon corps était fluide et glissant. Je tombais, je n’en finissais pas de descendre. J’avais l’impression d’être sur un de ces manèges à sensations fortes. Je ne peux pas dire que c’était désagréable. Il y avait même de la musique, je n’arrivais pas à reconnaître la chanson mais je chantais pourtant les paroles dans ma tête. Puis des flammes apparurent dans la noirceur, je m’y dirigeais à une vitesse fulgurante ! Et alors que la chaleur commençait à me brûler j’entendis un son étrange, comme une cloche. Non ce n’était pas une cloche, plutôt une sorte de bip, oui c’était ça, un bip électronique ! Biiip !!! Biiiip !! Biiiip !!

Je me levais en sursaut les yeux en larmes les mains tremblantes. C’était le réveil, il avait automatiquement allumé le buzzer car la radio ne m’avait pas réveillé. J’appuyai machinalement sur le bouton stop et m’assis sur le bord du lit. Je respirai profondément.



A suivre...

lundi 26 octobre 2009

Empuria Bravo!


Week-end détente à EmpuriaBrava, programme: Pêche en mer!



Bon alors, si les perruches le disent. Moi je veux bien les croire.


Et ben quoi? Me regarde pas comme ça va! Passe ton chemin ou je t'écailles!!


Évidement on est tomber en panne, c'est impossible de partir en pêche sans qu'il n'y est un incident! Et quand on tombe en rade d'essence au beau milieu du lagon, on appelle au secours.


Parhélie



Voici une photo que j’ai faite ce week-end sur la route, vous n’en verrez pas souvent car ce phénomène météo est assez rare sous nos latitudes. Cela s’appelle une Parhélie ou « faux soleil ». C’est un phénomène optique qui apparaît de chaque coté du soleil.

Plus de renseignement ici ---> Parhélie

Malheureusement au moment de prendre la photo un gros nuage en a caché la moitié. J’ai donc volontairement noircis la photo afin de mieux l’observer.


tout les conducteurs sur l'autoroute ont ralentis pour observer cette lueur dans le ciel. Il n'a durer que quelques minutes mais c'était beau a voir.Je suis heureux d'avoir eu mon appareil sous la main a cet instant.




Rémy

dimanche 4 octobre 2009

Genève, sur les rives du lac Léman.

Cette semaine en écoute, Jimmy du groupe Moriarty.

Pourquoi cette chanson ? Et bien car elle parle de voyage et d’identité. Jimmy ne voyage pas que dans sa tête, il crois fermement que cet ailleurs le rendra heureux, il est de ceux qui aime l’idéologie du rêve américain. Il en oublis ses origines et part pour ce grand voyage. La chanson ne raconte pas ce qu’il s’est passé par la suite. Elle dit juste qu’il fumera sa dernière cigarette et qu’il finira parmi les bisons.

Jimmy ne se perd pas, il disparaît tout simplement Alors je n’aime pas cette chanson pour sa grande morale, je ne la comprends pas, et je serais bien prétentieux d’essayer de le faire. Je l’aime pour son ambiance et son histoire, voila pourquoi j’ai voulu vous en parler.



Pour l’apprécier il vous suffira de vous poser confortablement, de penser a tous vos rêves d’enfant, et faire semblant durant ces quelques minutes, que vous les vivez. Je pense qu’elle parle de ça cette musique. Juste du bien être que l’on se procure à rêver un peu…


Voici une partie du refrain que j'ai essayé traduire pour vous:

Les bisons ont l'habitude de dire,
sois fier de ton nom
sois fidèle a toi même
Va ou tes pas te mènent
Fais comme tu le sens






Le jet d’eau de Genève.

A l’origine crée pour compenser les surpressions de l’usine Hydraulique. Le jet atteint 140 mètres. Il est propulsé a la vitesse de 200 km/h et débite 500 litres par seconde ! Il est aujourd'hui la principale attraction de la ville.



mercredi 30 septembre 2009

Le clip qui déchire: L'Aveyron.


CLIP OFFICIEL 4P : L'aveyron 2
envoyé par le4P.

Mes quelques escapades au cœur de l'Aveyron m'ont permis de découvrir leur culture et leurs hobbies. Ce sont des gens aimables qui aiment par dessus tout leur région.
Ce clip est tout simplement énorme! A consommer sans modération. Et que vivent les boites de Tripou! LOL!

Je vous invites a visiter leur site. C'est par ici ----> http://www.le-4p.com/

samedi 26 septembre 2009

STOP a la psychose!!

HADOPIH1N1

mercredi 9 septembre 2009

Demain

Demain, je recommencerais ce que je n’ai pu finir aujourd’hui.

Puisque le temps m’était compté et ma décision prise.

Je capturerais ces vagues écumés s’éventrant sur les enrochements.

Je n’oublierais plus alors, d’assouvir mes désirs.

J’écarterais violement ces gens qui de par leur ignorance me blesse.

Tous ces tons condescendants sans saveurs m’exaspèrent.

Je serais seul maître a bord puisque le monde tournera sans moi.

Cherchant en vain ma rédemption, au confins de l’allégresse.

Je prendrais ce bonheur aussi souvent que tu n’auras plus froid

Aussi souvent qu’un souvenir tendre inondera ton cœur.

Et lorsque enfin viendra le jour ou tu n’aura plus peur

Alors je serais libéré de cette prison glacée.

Il n’est pas de rimes pour exprimer les convictions qui vivent en moi

Il n’y a pas de mots pour décrire cette histoire.

Il ne vit que des émotions lointaines et inoubliables.

Elles sont bâti sur l’enfant et son innocence pour l’espoir.

Demain je recommencerais ce que je n’ai pu finir

Sous d’autres cieux et pour l’amour des miens.

Puisque le temps m’était compté, puisqu’il n’était pas pour moi…


Rémy


En son temps le chagrin de l'absence s'efface devant la mémoires des jours heureux. M.Levy ( le premier jour)

vendredi 4 septembre 2009

Le clip qui déchire: Court vite! Silmarils

samedi 22 août 2009

Le clip qui déchire.


Lilly Allen Fuck You
envoyé par cwebfr. - Regardez plus de clips, en HD !


Énorme le morphing vidéo. Un clip plutôt sympa.

dimanche 9 août 2009

Prat d'Albis (dans les nuages)



Prat d’Albis en Ariège le 7 août 2009. 1200 mètres d’altitude 17° dans les nuages, 28° en plaine.


Dans le monde ordinaire, on sait ou est la place de chaque chose, on a confiance dans cet ordre. Et croire à tout ça nous rend innocent. Tous les jours sous le même ciel nous espérons, rêvons et rions. On trouve son chemin et on le perd, les fins sont des commencements. Et les bribes du temps reforment a nouveau un tout.


Cet a cet instant que j’ai compris. La page est tournée….


Rémy


vendredi 31 juillet 2009

Le fil

dimanche 26 juillet 2009

Tous geeks, deuxième volet. Internet est L’UNDERGROUND


Comment parler d’Internet sans parler de l’underground, en anglais cela signifie « sous terre ». Cette appellation s’apparente aux réseaux sinueux que peut former le métro des grandes villes. Ainsi que tout ce qui s’y passe. Contre culture, Hacktivisme, pornographie, violence, tout ce qui est en marge de notre société actuelle ! Depuis 1960 ce terme s’est largement répandu grâce a l’arrivé d’Internet. Mais ne vous y trompez pas, quand l’underground se démocratise, il devient une source juteuse et abondante de fric ! Il devient alors une mode ou un nouveau mouvement social. Tant qu’il ne remet pas en cause la bienséance et le politiquement correct, il est et restera une source de pognon phénoménal !

Seul l’underground trop en marge voire presque illégal restera sous terre !



Chapitre 1 :

La Culture Underground


C’est une culture alternative, tenue à l’écart des média de masse ou de la « mainstream » qui signifie courant dominant en français. Le mainstream est le courant principal de consommation constituant donc le segment principal de la demande. Quand la culture alternative se démocratise, elle rentre inévitablement dans la mainstream, et apporte ainsi son flot d’argent avec elle.

L'underground rassemble des individus et des cultures en marge des habitudes culturelles. On y trouve souvent des critiques des normes, des morales, des codes inhérents à l'organisation sociale qui y est parfois conspuée, ainsi que des techniques de communication et des réseaux de diffusion alternatifs aux moyens traditionnels (fanzines plutôt que grande presse, vente ou échange lors d'événements plutôt que commerce par grande distribution, prône du diy, do it yourself ou de l’autogestion, et bien sur Internet)

Les précurseurs de ce mouvement anticonformiste date de la fin des années 50 avec l’apparition notamment des beatniks, jeunes gens chevelus et débraillés sans ambitions et tous vagabonds.

La culture underground passe principalement aujourd’hui par la musique (punk, electro, heavy métal, certaines forme de rap…etc.) Elle a rejoint les réseaux communautaires d’Internet pour former une entité largement plébiscité par tout les addicts de cette culture, qui espère la garder secret, afin d’en préservé les intérêts.

Un exemple concret, la tektonic ou vertigo. Pratiqué depuis les années 2000, elle est devenue grâce au bouche a oreille et aux post de vidéos sur Internet, très populaire ! L’origine de cette danse reste quasiment impossible a déterminé, tout les danseurs se déclarant eux-mêmes créateurs. Elle est un exemple fort de ce qu’es la culture Underground, c'est-à-dire d’origine inconnues. Mais quand elle rentre dans la mainstream, tout le monde veut sa part du gâteau !

Wikipédia indique qu’elle viendrait d’une boite de nuit de Rungis, le « Métropolis ». Je n’y crois pas trop. Ayant moi-même participé a des manifestations electro-nature (rave). Je peux affirmé qu’elle est bien plus ancienne que les années 2000.

La culture Underground a donc des idées, elle est toujours en avance sur son temps. Et quand elle devient « convenable » au yeux du grand public elle devient commerciale, et s’étouffe ainsi d’elle-même. N’intéressant plus les puristes de l’underground, elle fini tout simplement par disparaître.

Cette culture souterraine n’a d’intéressant que la rareté de sa pratique ! Pour rester en marge de la société, pour se différencier, pour être et devenir autre chose que ce que l’on nous impose par les média de masse, la télévision et Internet. Au même titre que la création musicale, la culture Underground vit des heures sombres. Elle est défigurée par la rapidité de circulation d’informations sur Internet, le partage illégal des œuvres, et l’engouement particulier des énormes machines multinationales à faire du pognon pour cette culture.

A suivre….

Rémy



dimanche 19 juillet 2009

Image pieuse?

Le clip qui déchire


Alister - Qu'est-ce qu'on va faire de toi ?
envoyé par alister - Regardez plus de clips, en HD !


Petit clin d'œil pour Cindy, très bonne soirée. Merci pour ta bienveillance.

jeudi 16 juillet 2009

L'orage en direct de Nohic

mercredi 15 juillet 2009

Castelnaud La Chapelle (24)

jeudi 2 juillet 2009

Cache-cache.

Le clip qui déchire

mercredi 1 juillet 2009

Ma machine à Vapeur


C'est une joie et un honneur de vous présenter ma toute première mise en service officielle de chaudière vapeur. Celle-ci produira 7 tonnes de vapeur par heure pour une papeterie et est alimenté avec des copeaux de bois.
11 mois que j'attendais ce moment.

ZapNet

mercredi 24 juin 2009

Quand Hadopi s'emballe.


Encore un nouveaux volet sur la loi Hadopi, le gouvernement s’acharne véritablement sur cette loi ridicule, et nous promet ainsi une querelle sans précèdent entre utilisateur du net et le gouvernement. On est loin du discours du président qui souhaitait aider les artistes ! Aujourd’hui cette affaire prend la tournure d’un règlement de compte personnel entre le président et la communauté des internautes.

Véritablement blessé par le coupage de tête d’Hadopi par le conseil constitutionnel et les moqueries des internautes blogeurs, notre président semble ne pas comprendre l’importance d’un tel débat !

La peine encouru a présent pour un téléchargement illégal pourrais aller d’un simple amende jusqu'à 1500 euros. Mais prévois aussi de la prison pour les récidivistes !
C’est tout simplement aberrant ! Je ne comprends pas l’acharnement du président pour cette affaire. La grande majorité communautaire des internautes demande à Monsieur Frédéric Mitterrand, notre nouveau ministre de la culture, d’ouvrir la voix de la raison !

Rémy

« Ce nouveau texte relève de l'acharnement thérapeutique ! Il abolit certes les décisions automatisées en masse et restaure, ce qui est la règle en démocratie, le traitement par le juge. Mais celui-ci recevra de l'HADOPI ses dossiers mal ficelés à partir de preuves sans valeur, forcément bourrés d'erreurs et accusant inévitablement des innocents. Pour tenter de contourner cette faille intrinsèque, le gouvernement va donc permettre au juge d'ordonner de façon expéditive des coupures d'accès afin de forcer des aveux. Tout le monde saura très vite qu'il ne faut pas céder à ce chantage et nier en bloc les accusations. La nouvelle HADOPI sera encore plus coûteuse et inefficace que la précédente ! » analyse Jérémie Zimmermann, porte-parole de La Quadrature du Net.

"Le collectif citoyen appelle le nouveau ministre de la culture Frédéric Mitterrand à jouer la carte de l'ouverture en écoutant la voix de la raison, et à pratiquer la rupture en abandonnant la répression absurde contre le partage d'œuvres culturelles. Il est temps d'étudier la mise en place des nouveaux modes de financement de la création à l'ère numérique qui viendront inévitablement accompagner les nouveaux usages au lieu de les combattre vainement. Le nouveau ministre pourra ainsi avancer dans le sens de l'Histoire."

La quadrature du net

Tous Geek ?

Si vous ne savez pas ce que veux dire « geek » c’est que vous êtes déjà has been ! La blogosphère ne vous a pas mis a jour, car vous n’avez même pas de blog ! LOL ! Si vous pensez encore que msn est une nouvelle loi pour la lutte anti-hadopiste, que skyblog veut dire le bleu du ciel, que face-book et le nouveau roman de jean pierre coffe, et que twitter et le chant de la gallinette cendré, alors cet article est fait pour vous ! préparez vous a entrer dans le 21eme siècle, préparer vous a votre nouvelle vie de No-life !


Les geeks ou cybernator sont des passionnés d’informatique, mais dans un sujet bien précis. Par exemples les MMORPG (jeux de rôle en ligne massivement multi joueur). Il peuvent bien sur être passionner par d’autre sujet, bloggeur, Héroic fantasy, manga et j’en passe. Le lien commun étant l’information, l’interaction et l’utilisation d’Internet via leur pc. Les geeks se distinguent bien des No-life, qui eux n’ont, comme son nom l’indique, plus de vie tellement leurs addictions leurs prend la quasi totalité de leur temps. Un No-life peut par exemple passer 20 heures sur 24 à jouer à WOW (world of warcraft) qui est le MMORPG le plus célèbre. Ne s’arrêtant que pour manger (si peu) et dormir (les yeux rouges). Le No-life est bien l’extrême du geek.

La messagerie instantanée :

Tout a commencé avec MSN (Microsoft network) qui est le logiciel client de messagerie instantanée le plus utilisé. Il s’est aussi appelé MSN Hotmail et aujourd’hui Windows live Messenger. Ce logiciel (totalement contrôlé par Microsoft faut le savoir) permet de réunir et de discuter avec tout ses contacts, qui sont aussi inscrit sur Messenger. Il permet entre autres d’avoir une adresse mail, d’envoyer des photos en direct, de faire des conversations vidéo par Web Cam etc. Si vous pensez que votre ado et amoureux de son clavier, ne vous y trompez pas, il est simplement sur Messenger. Ne vous en faites pas, dès qu’il/elle aura trouvé un copain ou copine, vous pourrez récupérer votre poste de travail !

MSN devance de loin SKYPE qui est non pas un logiciel client, mais un logiciel propriétaire ! La différence étant qu’il permet de passer des coups de téléphone partout dans le monde a des prix défiant toute concurrence, voire carrément gratuit. Il est aussi de meilleure qualité que MSN en ce qui concerne les visioconférences. SKYPE est un logiciel Estonien ! Moins de succès car moins ludique, il reste le meilleur en terme de qualité.

Les logiciels de tchat (messagerie instantanée) ont permis à des millions de néophyte de connaître toutes les possibilités de communication qu’offre aujourd’hui Internet. Une sorte de téléphone Arabe mais en numérique, donc pas de perte ! Un langage propre a celui-ci s’est peu a peu développer. Seul les geeks d’aujourd’hui en connaissent l’abécédaire complet. Je ne sais pas si je suis un Geek mais je vais essayer au fil de cet article de vous présenter cette communauté qui n’a pas de frontière, n’as presque pas de lois, mais somme toute, profondément pacifiste !

Les réseaux sociaux :

Les communautés, voila, le mot est lancé est peut parfois faire peur ! Vous me direz, des idéologies dangereuses peuvent transiter via ces communautés. C’est vrai, sauf que c’est hors sujet. La communauté des Internautes aujourd’hui passe par les blogs et autres sites Internet. L’intérêt n’étant pas de transmettre une façon de penser, mais bien de penser a sa façon ! Cela veut dire que tout le monde peut enfin communiquer en toute liberté ! Libre arbitre a vous, de lire ou de ne pas lire! La presse de proximité a l’échelle mondiale !

Face book en est sûrement l’emblème, il est un site Web de réseaux social avec plus de 200 millions de membres en 2008 en constante augmentation. Il a fait son chemin depuis Harvard la célèbre université ou il a été crée par la communauté étudiante en 2006.
Après Copain d’avant ou mafamille.com , Face book et la communauté des retrouvailles et du Garde contact ! Le principe ? Je met ma photo en ligne, mon nom et prénom et me voila dans les nouvelles pages blanches cybernétiques. Son coté ludique lui a value sa renommé, puisque on peut y distribuer des cancans sur ses amis, parler de ce que l’on est entrain de faire ou laisser un commentaire sur le dernier film que l’on a vu. Face book est en somme un site voyeurisme planétaire ! Tout les people de ce monde ont un profil sur face book. Il est aussi équipé d’une messagerie instantanée mais qui est loin d’être efficace.

On reconnaîtra aussi l’idée de MYSPACE qui est tout comme son alter ego face book, un site de réseaux social. Plus accès sur les artistes qui postent leurs œuvres musicales afin de se faire connaître. Moins développer que face book, il offre une seule page Web.Le site possède aussi un système de messagerie et permet par ailleurs de « poster » ses photos. Il est aussi doté d’un système de Blog.

Ah le Blog ! Il est sûrement la plus énorme des innovations en matière de communication sur Internet. Le Blog ou Blogue est constitué de billets ou articles généralement classés par ordre antéchronologique (les plus récents en premier). Le Blog aborde tout les sujets, journal intime le plus souvent. Ressources d’images, de vidéos, de textes…etc. Il est surtout interactif, c’est la son plus grand intérêt. La communauté des bloggeurs peut se laisser des commentaires écrits voire enrichis d’hyperliens tout comme les articles. Mais l’on n’est pas obligé d’être bloggeur pour laisser un commentaire. Il va de soit de préciser qu’il est totalement gratuit tout comme les autres réseaux dont je parle depuis le début.

Récemment un nouveau né, TWITTER qui est plutôt un outil de réseaux social et de microblog, puisqu’il ne permet que de poster des messages ou tweets (gazouillis en français) de 140 caractères maximum. On peut y échanger ses impressions du jour tel que « je suis naze » « j’ai eu zéro en Français », il peut s’alimenter par sms, ainsi on peut « microbloger » depuis autre part que chez soit. L’intérêt est moindre, mais comme tout ce qui est nouveau et inutile, il passionne particulièrement les geeks, pourquoi pas ?!

A suivre….

Rémy

lundi 22 juin 2009

La machine a vapeur



Je cherche absolument a quoi sert cette machine a vapeur, découverte dans une usine désaffecté a Decazeville. Si quelqu'un'un a une idée?

mercredi 10 juin 2009

HADOPI RIDICULOUS


Ça sonne comme une formule magique ! Hadopi viens de voir son « droit » de coupure Internet réduit a néant. Le conseil constitutionnel vient de la vider de sa substance !


L'autorité administrative (l'organisme) chargée d'envoyer des mails et des injonctions de coupures Internet à la place des juges ne pourra pas sanctionner les internautes, elle pourra juste prévenir.
Internet est un droit fondamental, comme cela a été récemment dit par l'Union Européenne.
De plus, la présomption de culpabilité instaurée par la loi a été rejetée, heureusement, cela aurait été une première en France.
Madame Albanel a promis de démissionner si cette loi n’aboutissait pas. On attend que ça !

Vive la justice et vive la liberté !

Source Yahoo actualité

mercredi 3 juin 2009

Saint Atonin Noble Val --> Bruniquel (sur la route des Fantômes)

Si bien qu’un beau jour de juin sur la route sanctuaire, je prenais plaisir à rouler en paix. Je regardais les dunes géantes éventrées par le fleuve. Et mon regard se perdait dans les méandres des ruisseaux. Submergé de souvenir qui envahissaient tout a coup mon esprit, je poussais alors un soupir de montagne sur les vestiges de mon passé. L’asphalte a cette faculté d’absorber les renflements de la vie.
Rémy


55 000 kilomètres. Il n’en fallait pas moins.














Il n’y a qu’une pensée qui vient a l’esprit dans un moment pareil. J’en veux plus ! Je veux être surpris tous les jours. Aujourd’hui je suis près !





Entre Saint Antonin Noble Val et Bruniquel. (82)
A seulement une heure de toulouse.
Le spectacle est grandiose!! Les gorges de l’Aveyron ouvrent leurs portes sur un panorama féerique !
A découvrir : la route de la corniche et le point de vue du roc d’Anglar