Si bien qu’un beau jour de juin sur la route sanctuaire, je prenais plaisir à rouler en paix. Je regardais les dunes géantes éventrées par le fleuve. Et mon regard se perdait dans les méandres des ruisseaux. Submergé de souvenir qui envahissaient tout a coup mon esprit, je poussais alors un soupir de montagne sur les vestiges de mon passé. L’asphalte a cette faculté d’absorber les renflements de la vie.
Rémy
mercredi 3 juin 2009
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