mercredi 27 janvier 2010

LE clip qui déchire, SHANTEL avec Disko boy





A écouter avec le son au max! c'est que du bonheur.

Avec ce premier Album crée en 2007 Shantel nous enchante avec des rythmes disco club fortement influencé des orchestre et fanfares Balkaniques. Un son hors normes, une sonorité différente, mais comment a t'on pu passer a coté??

En concert le 09 juillet 2010 a Seignosse le penon (40). Je serais la!


En voici une autre, rien que pour le plaisir.

mardi 12 janvier 2010

Bienvenue a Saint-Rémy (en Aveyron.)


dimanche 10 janvier 2010

En mode reportage.

Merci d'être indulgent c'est mon premier reportage.




pour voir la vidéo en haute qualité c'est ici

samedi 9 janvier 2010

Nohic sous la neige II


C’est le premier jour de ma vie

Je jure que je viens de naître

Tout changea quand nous sortîmes sous la pluie

Assis sur ce banc au milieu des regards de bêtes

Ton visage fut le premier que je vis

J’étais aveugle avant de te rencontrer

Maintenant je ne sais pas où je suis
Je ne sais pas où j'ai été
Mais je sais où je veux aller





Je pensais que tu devais savoir

Que ces choses la prennent du temps

Je suis si lent certain soir

Mais j’ai besoin de toi si souvent

J’aimerais tellement te revoir.





Souviens toi tout les risques pris

Pour qu’au matin tu puisses dire

C’est aussi pour moi le premier jour de ma vie

Je suis en vie à tes cotés

Avec toi n’ importe où je pourrais aller.

Et je serais sans doute heureuse….






Traduction et adaptation par mes soins des idées générale de cette merveilleuse chanson. « first day of my life » de Bright Eyes.

En souvenir de ce temps la.


Rémy



Allez, je vous offre aussi le clip qui est super.


Bonne année a tous, qu'elle soit pleine d'amour.






jeudi 7 janvier 2010

Le journal des moutons.


Bienvenue mes gentils moutons a ce nouveau numéro du Journal des Moutons. La grippa A eu son heure de gloire après des semaines de terreur. Elle est bien enterrer a présent puisqu’un rival vient de prendre sa place. L’ACTE terroriste Acte 1 :

L’avion :



Une fois de plus la télévision nous abrutis tous, comment croire qu’un gadget a 250 000 dollars fabriqués dans l’unique but de détecter des armes sur nous, puisse fonctionner ! Alors que je n’arrive même pas à rendre mon Windows stable ??!!! De plus, un terroriste digne de ce nom ne regarderait pas la télé ? Il serait assez con pour aller sous le portique avec sa bombe ????? Preuve de plus qu’on nous prend pour des cons en jouant les sur protecteurs. Tout ça pour faire passer la pilule Grippe A. Et c’est qui qui paye ??


La télé Reine a encore frapper, rester au chaud mes gentils moutons on s’occupe bien de vous…


Terrorisme définition: Ensemble des actes de violence qu'une organisation politique exécute dans le but de désorganiser la société existante et de créer un climat d'insécurité tel que la prise du pouvoir soit possible.

Attitude d'intolérance, d'intimidation dans le domaine culturel, intellectuel et/ou spirituel. Terrorisme de la vertu; terrorisme intellectuel, verbal

Emploi systématique par un pouvoir ou par un gouvernement de mesures d'exception et/ou de la violence pour atteindre un but politique.

Je vous laisse réfléchir la dessus.






lundi 4 janvier 2010

18 heures de trop, chapitre IV « Révélation »

Je ne sais pas si je l’ai rêvé cette fois ci. Les nuits et les jours se ressemblent tellement.


«L’oeil... Tout l’univers est en lui, puisqu'il voit puisqu'il reflète ».

« Un homme un être a le pouvoir, effrayant et incompréhensible, d'endormir, par la force de sa volonté, un autre être, et pendant qu'il dort, de lui voler sa pensée comme on volerait une bourse. »

En ces quelques mots, Maupassant disait il vrai ? Au fond est ce réellement une bête ? Peut être que l’âme d’un autre me hante. Et si je n’avais vu qu’un reflet, pourquoi cette vision si sombre ?

Cela fait maintenant 3 ans que cette chose me suit partout ou je vais. Il grogne aux derniers actes de mes songes, il apparaît parfois dans l’angle mort de mon rétroviseur. Quelques fois il s’éloigne pour revenir plus vite encore. Toujours présent mais jamais il ne m’agresse. Il porte sur moi un regard protecteur aussi bien qu’une menace. A chaque fois plus subtil quand je suis seul face a moi-même.



J’ai du mal à me souvenir de sa première apparition. Le souvenir le plus clair se situ au début du moi de mars 2007 sur une plage de Normandie. En cette saison le froid et toujours bien présent dans cette région, le soleil tentant désespérément de réchauffer le sable alors que le vent prend un malin plaisir a le refroidir. Je marchais sur cette plage les idées brouillées. Je ne sais même plus pour qu’elle raison je me trouvais ici.

Une chose est sure, je m’en souviens très bien a présent que je l’écris. Je pensais a toi. Je t’avais laissé la veille, seule dans cette maison après notre premier baiser. Tu venais de fermer

la porte de la cuisine, et tu t’es retourné. Je voyais bien à ton regard que tu attendais quelque chose de ma part. Une chose que je t’avais promis depuis longtemps. Un acte impossible, une trahison impensable ! Pourtant la seule idée de poser mes lèvres sur les tiennes déchirait d’un coup toutes mes convictions les plus précieuses. L’amitié, la loyauté, le respect… Et tout s’est envolé aussi légèrement qu’une plume s’élèverait par le souffle de tes deux mots. Embrasse moi. Tu n’avais jamais été aussi belle.

Perdu dans mes pensées je n’avais pas remarquer que je m’étais trop éloigner du rivage. La marée basse découvre le sable sur plusieurs centaines de mètres. Je me sentais bien seul tout a coup. Le vent soufflait fort et je ne voyais plus les grands hôtels qui longeaient la plage. Je ne partais jamais sans mon appareil photo, et je venais de prendre en mémoire ton nom que j’avais écris sur le sable fin. Je flashais alors plusieurs fois dans cette brume sablonneuse afin d’éclairer mon chemin, espérant découvrir quelques traces de mes pas. Je me penchais pour observer de plus près ce qui me semblait être mon 43, mais une étrange trace aussi grosse que mon empreinte se dessinait tout a coté. Quelqu’un ou quelque chose me suivait. Impossible si loin du rivage, je l’aurais forcément aperçut. Ça ressemblait à des pas de chien, vu la taille des pattes je n’osais imaginer le reste du corps. Mes sens commençaient à se décupler, je sentais la brise marine et les algues vertes. J’entendais les mouettes au loin, et le cliquetis des poulies d’un grand voilier amarré au port a des kilomètres de la. Ma respiration était si forte que j’ai cru plusieurs fois perdre connaissance. Je flashais une fois de plus a l’opposer de l’océan. Et dans la purée de sable, j’aperçut des crocs monstrueux accompagner d’un grognement sourd ! Il n’en fallait pas plus pour faire réagir mes jambes ! Je courais a toute allure a contre vent, je n’avais jamais été aussi vite.

J’ai pu rejoindre le rivage non sans me retourner plusieurs fois. Il ne me suivait pas.


J’ai essayé durant plusieurs jours de me convaincre que cette vision n’était que le fruit de mon imagination. L’avenir me prouverait le contraire.


Rémy

dimanche 3 janvier 2010

2010

Une nouvelle année a commencé. Dans une maison Pyrénéennes aux pieds des bois de Panebère. Gravissant les torrents et peinant dans la neige, rien ne pouvait m’arrêter. Je suis monté sur le plus haut sommet accessible avec ma machine pour prendre ces quelques clichés. J’ai vu beaucoup d’endroits magnifiques, j’ai voyagé plus loin que je n’aurais jamais espéré. Mais c’est ici que je me suis senti le mieux. Il n’y avait rien ni personne et j’étais le premier à fouler la neige de ce pâturage. Alors qu’une tempête de neige commençait à souffler la poudreuse dans ma direction, j’ai décidé de rester un peu. Je me sentais bien tout simplement.


Et puis j’ai sortis l’appareil photographique de mon sac a dos, j’ai pris environ 15 ou 20 photos, pour faire un montage panoramique. Le vent soufflais de plus en plus fort et je me disais qu’il serait peut être bon de redescendre sans plus attendre. Mais je n’avais pas froid, j’étais bien équipé, vêtement très chaud et imperméables, une carte topographique, et une boussole. J’ai donc décidé de rester encore. Le viseur collé a mon œil, en mode téléobjectif je regardais le plus loin possible. C’est la que je l’ai vu. Il a bouger très lentement puis s’est immobilisé. J’ai zoomer en x12 pour mieux le voir. C’était bien lui j’en suis certain. Je ne pensais pas qu’il me suivrait jusqu’ici, à cette altitude. Je l’ai observé longuement. Il faisait des allées et retours. Il était a au moins 500 mètres de moi mai je sentais son regard écarlate sonder mes entrailles. Je sentais la neige glacée entrer sous mon manteau étanche et se coller a ma peau. Tétanisé je n’ai même pas pu appuyer sur le déclencheur avant qu’il n’entre dans un sous bois.


Pourquoi ais je si peur a chaque rencontre ? Depuis le temps je devrais être habituer a sa présence. Son pelage noir et plus sombre qu’une nuit sans lune, il est de la taille d’un poney et ses yeux rougeoyants m’observent de l’intérieur. La peur est impossible a contrôler face a ce chien immense voila tout. Mais elle disparaît plus vite maintenant. Dès qu’il s’en va, je me sens si bien. Je me sens libre et léger. Cela faisait des mois que je ne l’avais pas vu. A croire qu’il me manquait. Retour au chalet tout le monde est la. Je fais comme si de rien n’était.


_ Alors cette rando ?

_Super je te remercies.


Et puis presque tout le monde est parti. J’apprécie de lire un peu devant le feu de cheminée. Je prends le temps d’observer et d’écouter. La nuit les multitudes de ruisseaux environnants, résonnent de concert avec les hululements des chouettes. Le jour le soleil redonne vie aux forets. Le froid extérieur est saisissant et la brume angoissante. Toutes les sensations sont décuplées en pareils lieux. Mais c’est tellement beau…


2010 commence très bien


Rémy.

samedi 2 janvier 2010

Mon nouvel an.



Une petite ballade ?