Elle apparaît le soir, lorsque la nuit est brume
Lorsque mon cœur s’endort, douce amertume.
Enferment tout mes rêves envers ses bras de taule
Maton silencieux de sa conscience isole
Je reviendrais demain ou le sommeil est proche
D’une lune sans bruit qu’un frisson chevauche
Je penserais a toi, jusque dans l’infini
Et je serais pour toi cet unique alibi
Insomnie quand tu me tiens… (R.G)
Rémy
2 commentaires:
Insomnie, l'inspi te revient lol
Toujours beau poème...Continues. Mam.
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