dimanche 17 octobre 2010

Ma nuit

Elle apparaît le soir, lorsque la nuit est brume

Lorsque mon cœur s’endort, douce amertume.

Enferment tout mes rêves envers ses bras de taule

Maton silencieux de sa conscience isole

Je reviendrais demain ou le sommeil est proche

D’une lune sans bruit qu’un frisson chevauche

Je penserais a toi, jusque dans l’infini

Et je serais pour toi cet unique alibi


Insomnie quand tu me tiens… (R.G)


Rémy

2 commentaires:

Gonzalez Cuisine a dit…

Insomnie, l'inspi te revient lol

Anonyme a dit…

Toujours beau poème...Continues. Mam.